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Archivi categoria: ANIMALI VIVENTI

farfallina

di Alessandro Porcu

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Simbiosi finale

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Insetto sul fiore

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Farfalle in Umbria

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Les défis – Pour une peche durable

Le contexte
144 millions de tonnes (Mt), c’est la production mondiale de poissons, mollusques et crustacés issue, en 2006, de la pêche (92Mt) et de l’aquaculture (52Mt). Ne sont pas comptabilisés dans ces déclarations officielles de la FAO, ni les rejets de pêche, de l’ordre d’une dizaine de Mt/an, ni les captures de la pêche illégale. 110 Mt sont destinées à la consommation humaine, ce qui donne un approvisionnement moyen de 16,7 kg de poisson par habitant. A l’horizon 2020-2030, cette consommation est estimée entre 130 et 150 Mt. L’aquaculture et la pêche devraient y contribuer à parts quasi-égales.
Il existe une grande différence entre l’aquaculture et la pêche : le contrôle de l’élevage, la domestication des espèces, les droits de propriété,… Mais la différence la plus frappante est que 60% du volume de la production aquacole provient de milieux d’eau douce ou saumâtre, alors que la production halieutique est à 90% d’origine marine. Plus précisément, 70% des captures de la pêche proviennent de quatre grandes régions océaniques (Pacifique nord-ouest, Pacifique sud-est, Atlantique nord-est et Pacifique centre-ouest), tandis que 70% de la production aquacole est chinoise, 90% avec les autres pays d’Asie et du Pacifique.
Avec une production halieutique de près de 6 Mt, l’Union européenne occupe le 3ème rang mondial en 2005 derrière la Chine (17 Mt) et le Pérou (9 Mt). Il faut cependant noter qu’au cours de la décennie 1997-2006, le total des prises déclarées par les pays de l’UE a décru de 26%, passant de 7,6 à 5,7 Mt. Le Danemark, l’Espagne, le Royaume-Uni et la France réalisent ensemble la moitié de ces prises.
La France fait partie des grands « pays pêcheurs » de l’Union européenne. Depuis les années 90, les pêcheries françaises débarquent en moyenne 600 000 t/an (1,1 milliard d’euros de chiffre d’affaires pour 560 000 t en 2005, valeur ajoutée : 690 millions d’euros). L’approvisionnement annuel de produits aquatiques est en moyenne de 36 kg / habitant, composé d’environ 60% de poissons de pêche.
En 2007, le bilan des échanges commerciaux français de produits de la pêche et d’aquaculture se solde par un déficit de 2,5 milliards d’euros. Le tiers seulement de la consommation française est satisfait par la production nationale.
L’activité et la richesse créées par la petite pêche côtière irriguent et structurent le tissu socio-économique des nombreux territoires littoraux et insulaires bordés par les eaux de la ZEE française, la 2ème plus grande du monde : les bateaux de moins de 12 m de longueur constituent les trois-quarts des 5200 navires de la flotte de pêche métropolitaine française auxquels il faut ajouter les 2400 unités des DOM (et 80% des 90 000 navires de la flotte de pêche de l’UE), mais représentent seulement un tiers du chiffre d’affaires de la pêche métropolitaine (hors Mediterranée).
tratto da:

http://wwz.ifremer.fr/peche/Les-defis

 

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Petizione api

Le api che muoiono: testimonianze di apicoltori

Una lezione sulla meravigliosa vita delle api

 

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il gatto in scatola…

 
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Pubblicato da su aprile 6, 2012 in ANIMALI VIVENTI

 

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